Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/258

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24 uerre. lui a fournie ; cornroe il n’en estoit pas tou-" louts le maitre, on n’a rien i lui imputer sur ce suiet A l’gard de ses deux rivaux il seroit soubaiter que leurs prolets eussent este auss ! egtmes qu’ils ont t bien conduits. Alexandre avoit. un pretexte assez honneste quand il passa dans a Perse. II loit ranger les Grecs et contenOr les Barbares Mais flui I’ob{igea de passer aux Indes,qu’une ambition.’ ins. affable ? Pourquoi troubler e repos’ d’une Nation qm ne lui enavoit donn aucun suiet, etqui faisolt unmeiJleur usage que lui des.bien-faits de la nature ? ’ Encore n’a-t-i pas dtruit sa Pattie, ce que I’on re-’ woehe /t Cesar. . — Je re’amuse’ icy/t balancer le droit et le to que ces ConueTans out eu cornroe si’C'&toit de Ces choses’ I. qu il s’agit entre des gens.de, leur caractere. On ne .re. ! garde,pas s’ils sont’justes, On regarde s’ils’ sont hat)lies ; cest assez re&me qu’ils soient heureux : on [es. Ioiie alors. Q..qand le succez manque b.. quelqu’une .de leurs entreprises tout le reste a’beau s’y' t : ouver ; If peuple le bllme sans I’examiner, et les sages Vexamment la rigueur. Ces reflexions re’out &art& du merveilleux que je donne Alexandre, et dont je ne’ prive pas [es deux autres, en ’sorte’pourtant que Eandhe un peu plus vets la Macedoine(,) 5 ; ue vers [e Romain, saul le iuement hue V A en fera. car le merveilleux vous s familler- et nille’fois’ plu connu q /t nous Rutres Poetes, encore aue nous. nous 131 quions de I’employei dans nos Porhes. Si fin me alemaude auquel des trois ie pr&ens donner jusques-lt }a preference, ie dirai que d&s l’abord mo.n intention n’a. est& que de prononcer entre ceux u ne sont plus. On en peut parler comme on veut. e sont les { ? ns du monde les plus commodes. Pour les vivans fi faut I)rendre garde avee eux b. ce ue’ l’on dit. O._e si parhazard (omme toutes choses pqeu’1. Edition de 729 : Ver le Macdnten.