Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/317

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LETTRE. beancoup de Limonsines de [a premiere Bourgeoisie portent’ des chaperons de drap rose-s&be sur des cales de v&lours noir. Si je tronve quelqn’nn ’de

: haperons qui conyre une jolie t&e, j pourrai m’y 

amuser en passant, et par curlosit seulement. Qpoi qn’il en soit, i’ai tout-3-fait bonne opinion de notre voyage : nous avons dia fait trois lieus ans aucun mauvais accident., sinon que l’pe de M. Jeannart s’est rompu ; reals, cornroe nous soreroes gens 3 profiter de tous nos ma heurs, nons avons tronve qu anss-ben elle etot trop longue, et I embarrassoit. Prhsentement nous soreroes Clamart I au-dessous de cette fameuse montagne o{ est situe Mendon ; 13 nons devons nons rafraichir denx ou trois ionrs. F.n vrit, c’est plaisir que de voyager, on rencontre touiours quelq ? e chose de remarquable ; vous ne sauriez croire combien est excellent le beurre que nons maneons, ie me snis sonbait vint lois de pareilles vac ?, es, an’ parell herbage, des eux parell[es, et ce qui s ensuit, bonnis la batreuse, qui est un peu veflle. Le lardm de Madame C. ( ) roerite auss d’avoir lace dans cette histDire, il a beaucou d’endroits P.,. P fort champtres, et c’est ce que ame sur toutes choses. Ou vbus I’avez vtt, on vous ne l’avez pa vfi ; si vous l’avez vfi souvenez-vous de ces deux terrasses que le parterre a en face et/t la main gauche, et des tangs de Chines et de Chtlaigniers qm les bordent : ie me trome bien si cela n’est beau. Souvenez-vous hussi de ce’bois qui parolt en l’enfoncement, avec la noirceur d’une fort tge de dix si&les ; le.s arbres n’en sont pas si vieux /t la vrit, mais touiours peuvent-ils phsser p,..o, ur les plus. an.ciensdu, V.i ! lage,,et ie ne cro pas qu n yen at cle pus venerables sur terre. Les deux all&s qui sont/t droite et b, gauche . Dans l’kdit{on de 729 on lit ici et au bas.de la page suivante M. C., mais dan la Lettre XV il y a Madame C en toutes lettres.