' FABLES. -3! feuilleton du Jou'nal des Ddbats, a t reconnue PMour une superche,r!e; elle tait fort oubli& quarid Paul Lacroix l a rimprime dans les Nouvelles euvres inddites de .. de La Fontaine (p. 2t). L'auti'e version. a t publike par un bibliothcaire d'An goulme, M. Eusbe Castaigne , qui a ainsi racont. sa dcouverte': e Nous avons trouv FAne ]uge sur le dernier feuillet de aarde d'uffe dition grecque-latine des fables d'Esoe, ainsi intitule: sopi grace et latine nunc denuo select fabul; e item qaas Avienus carmine exressit. Accedit Ranaram et Murium pugna Homero ohm ascripta. (Lugduni- Batavorum, ex officina Joannis Maire, t32), 'etit in-8 o relik en parcheroin noir et orn de hombreuses figures sur bols. '
Ce petit volume, que nous avons achetk Paris,
ds 847, chez un bouquiniste de la rue des Grs, pour la modique somme de 2 ft. 5o c. porte l'estampille iprime Do CXSmT 'nVS g POTCaTaX, avec les insignes de l'illustre chancelief de ce nora. Bien que nous connaissions les relations de La Fontaine avec ce cl[bre personnage et les vets que le poate fit h sa louange, il nous serait impossible pour le moment d'affirmer si l'criture p&le et laurie de la fable est celle de Louis Phelippeaux, comte de Pontcharain .... l'Ane ]uge porte en suscription ces mots bien significatifs: Par feu Mon de La Fontaine. Le petit r6it de M. Castaigne est assur6mknt fort si'nc[re; mais 1 vets sont-ils de La Fontaine ? I1 est permis d'en douter. Nous avons cru devoir toutefois reproduire cette.pice qui est la dernire de celles' que nous rimprmons. I. Une fable in,dire de La'Fontaine, ddcouverte, annotde et ?ublie par un bibliophile de province. (^ngoulrae, de l'impr. de ^. Nadaud, i862, in-8 20 p.)