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Page:La Rhétorique des putains, 1880.djvu/244

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froid les condense… Con – danse ; c’est quand, par une conjonction copulative, le con et le vit sautent et dansent.

Condor. C’est un oiseau du Pérou, le plus grand des volatiles ; car il a jusqu’à vingt-cinq pieds d’envergure… Con – d’or ; c’est une fille ou femme fort serviable, d’un commerce aisé et agréable ; on peut dire d’elle que c’est un con qui vaut son pesant d’or. Cela peut signifier aussi, que votre con sera pour vous la plus abondante minière d’or.

Confesse. C’est aller ou être à confesse, pour faire la sottise de dire ses affaires à un prêtre, à un homme comme les autres… Con – fesses ; c’est que le con donne et ressent plus de plaisir lorsque, en même temps qu’on est à l’ouvrage, on laisse manier, et l’on remue alternativement les fesses.

Conformé. Signifie rendu conforme aux volontés, aux inclinations, aux façons de vivre des autres… Con – formé ; c’est quand une fille a sa taille, sa gorge, et par conséquent son con assez formé pour commencer ses études de physique.

Confort. Secours, assistance, aide… Con – fort ; c’est un con robuste, vigoureux qui résiste au travail, à la fatigue ; un con qui ne peut être que de genre masculin.

Confraternité. C’est la relation, le rapport qu’il y a entre des personnes qui sont d’une