Aller au contenu

Page:La Tailhède - De la métamorphose des fontaines, 1895.djvu/54

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.



Pourtant ce n’est ton doigt qui les cordes dispose,
Ni cette fleur sans prix, la cyprienne rose,
Ni l’oiseau séculaire élevant haut mon vœu :


Une si noble ardeur encor ne les réclame,
Ains que ces forcenés ne rejettent leur âme
Par un autre trépas que de mon arc de feu.