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Poupardin, à César.
Mon ami !… (À Tourterot) Arthur ! ne m’en veuillez pas !… les circonstances, la fatalité (Il saute au cou de César et l’embrasse à plusieurs reprises.) Camille ne peut être votre femme !
Gélinotte.
Ah ! je savais bien, moi !
Tourterot.
Et pourquoi ça ?… pourquoi donc ça ?
Gélinotte, à part.
Il est bon, le père… puisqu’il est marié !
César, à Poupardin.
Mais, songez-y, monsieur, après votre promesse de tout à l’heure, me défendre d’aimer…
Poupardin.
Ma fille !… Au contraire, aimez-la, jeune homme, aimez-la toujours !…
Gélinotte.
Qu’est-ce qu’il dit donc ?
Poupardin.
Mais, quant à l’épouser, jamais !
Tourterot.
C’est trop fort !
Poupardin, allant à Gélinotte.
Voici mon gendre… mon gendre définitif !
Tourterot.
Hein ? (À part.) Ah çà ! mais c’est un vieux cheval de bois, il tourne toujours.