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Tronquoy, entrant. Il a mis sa veste du matin, il est triste.
Monsieur le baron…
Fourchevif.
Ah ! c’est toi… (L’examinant.) À la bonne heure, tu es très bien comme ça.
Tronquoy.
Oui, sauf que je n’ai pas l’air d’un domestique… (Avec mépris.) J’ai l’air d’un paysan !
Fourchevif.
Voyons, que veux-tu ?
Tronquoy.
Il y a là un monsieur qui désire parler au propriétaire du château.
Fourchevif.
Un monsieur ?
Tronquoy, montrant sa veste.
Il m’a vu avec ça !
Fourchevif.
Tu m’ennuies ! Comment s’appelle-t-il, ce monsieur ?
Tronquoy.
Voilà sa carte.
Fourchevif, lisant.
Étienne Lambert… je ne connais pas… Fais-le entrer.
Tronquoy sort.
La Baronne.
Viens, Adèle. (À Fourchevif.) Dépêche-toi de le congédier… C’est aujourd’hui ma lessive, tu viendras nous aider à étendre.
La baronne et Adèle entrent à droite.