Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
MADAME DE BOISROSÉ.
Et quand l’orchestre s’arrêta… (Très-émue.) quand l’orchestre s’arrêta…
OCTAVE.
Eh bien ?
MADAME DE BOISROSÉ.
Nous montions en fiacre pour la mairie…
OCTAVE.
Fichtre !
MADAME DE BOISROSÉ.
Ce n’est qu’un rêve ! Certainement, je ne songe pas à me remarier… mais enfin… si cela arrivait !..
OCTAVE.
Permettez ! permettez !
MADAME DE BOISROSÉ, avec véhémence.
Ah ! voyez-vous, Octave… je ne pourrai jamais vivre seule !… jamais ! jamais !…
Elle rentre pour rejoindre sa fille.
Scène IX.
OCTAVE, puis POTFLEURY.
OCTAVE.
Se remarier !… Et mes espérances ?… C’est qu’elle a quatre fermes, cette femme… toutes marnées ! Elle est capable d’épouser un jeune homme… membre de plusieurs sociétés savantes… qui lui croquera parfaitement ses immeubles. Et les enfants ?… Dame ! on ne sait pas : le rose lui va encore très-bien… elle l’a dit… Sapristi !… que faire ?… Si