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j’avais là, sous la main, un homme mûr, un homme fini… insensible au rose…
POTFLEURY, paraissant à la porte.
Eh bien, tu ne viens pas ?
OCTAVE, illuminé.
Oh ! j’ai mon affaire !… Papa !… mon bon père… (Allant vivement à lui.) Écoutez… Vous êtes vieux, vous êtes las, vous ayez la goutte, il faut faire une fin… c’est très-pressé.
POTFLEURY, étourdi.
Quoi ? il faut faire… quoi ?
OCTAVE.
Il faut vous marier.
POTFLEURY.
Moi ? jamais !
OCTAVE.
Une femme charmante, libre, grasse et riche, qui vous aime !
POTFLEURY.
Ah bah ! qui ça ?
OCTAVE.
Madame de Boisrosé !
POTFLEURY.
La maman !
OCTAVE.
Votre gaieté lui plaît… elle me parlait de vous à l’instant… elle a fait un rêve… brûlant !… dont vous êtes le héros !… Vous consentez ? Je vais faire la demande.
POTFLEURY, courant après lui.
Ah ! mais, un instant ! tu parles !… tu m’étourdis !…