Cette page n’a pas encore été corrigée
he, à son père.) Oh ! la ravissante personne ! l’éblouissante beauté !
Il suit Berthe du regard, jusqu’à ce qu’elle disparaisse.
Duplan.
Eh bien, mon ami, c’est elle…
Maurice.
Comment ?
Duplan.
Voilà comme je les choisis !
Maurice.
Mon compliment !… vous vous y connaissez encore en jolies femmes.
Duplan.
L’habitude de cultiver les roses… (Riant.) Eh ! eh ! eh ! Chut ! les grands parents !
Scène III
Maurice, Duplan, M. et Madame Carbonel ; puis Berthe et Jules
Madame Carbonel, avec empressement.
Ah ! M. Duplan…
Carbonel, de même.
Cher ami…
Duplan.
Madame… permettez-moi de vous présenter Maurice, mon fils… (Présentant.) M. et madame Carbonel.
Salutations.