Page:Lacaussade - Poésies, t2, 1897.djvu/329

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Pardonne à ces regrets que dément ton bonheur !
Ma pensive amitié, belle enfant, se rassure,
         Voyant le choix fait par ton cœur.

L’âme honnête et virile à ta jeune âme unie,
D’un monde aux durs sentiers t’aplanira le sol.
Vers le nid du ramier, colombe, prends ton vol !
Nous léguons notre vierge, — une autre Virginie -
         Aux dévoûments d’un autre Paul !


Septembre 1867.