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LA COLLINE


I

Quand l’hiver a quitté la charmante forêt,
Quand le printemps sourit aux feuilles des grands chênes
Quand la fécondité de la terre apparaît,
Et que l’on peut songer aux récoltes prochaines ;


Parmi l’herbe nouvelle, et le long des sentiers
Où le pas du semeur matinal se dessine,
Tel on aime revoir de vieilles amitiés,
Bien souvent, je reviens visiter la colline.