Page:Landry, L’intérêt du capital, 1904.djvu/147

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rente, sans avance de capital, ou avec des avances pratiquement nulles. Mais souvent aussi le capital ne rapt porte que parce qu’il est appliqué à une certaine terre, la terre, que parce qu’on y a dépensé des capitaux. Alors c’est le concours des deux propriétés qui fera naître les deux revenus, la rente foncière et l’intérêt, c’est l’association des deux privilèges qui enrichira à la fois le propriétaire-foncier et le capitaliste, qui enrichira, encore, le capitaliste-propriétaire.