Livre:Landry, L’intérêt du capital, 1904.djvu

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TitreL’intérêt du capital Voir l'entité sur Wikidata
AuteurAdolphe Landry Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionV. Giard et E. Brière Voir et modifier les données sur Wikidata
Lieu d’éditionParis Voir et modifier les données sur Wikidata
Année d’édition1904
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TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES


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§ l. Nécessité de définir le capital et l’intérêt. Le capital : qu’il est malaisé à définir ; conditions qu’une bonne définition doit remplir. — § 2. Capital social et capital privé. — §§ 3-5. La capitalisation, ses modes ; la capitalisation au sens subjectif et au sens objectif. Extension qu’il convient de donner à la notion de capitalisation. — §§ 6-7. Le capital : deux manières de le concevoir. Définition du capital. — §§ 8-11. Classification des biens ; quels biens peuvent servir de capitaux. — § 12. Revue des définitions que l’on a données du capital. Définitions qui élargissent trop la notion. — §§ 13-15. Définitions qui la restreignent trop. — § 16. L’intérêt.


§ 17. L’explication de l’intérêt doit être bilatérale. — §§ 18-20. Raisons qui font que des biens peuvent être employés comme capitaux même sans intérêt. Première raison : variation des besoins des individus dans le temps ; comment il peut en être parlé ; comment cette variation entraîne dans certains cas l’effet indiqué ci-dessus. — § 21. Deuxième raison : la variation des ressources. — § 22. Raisons qui font que des biens ne peuvent être employés comme capitaux que moyennant un intérêt. Première raison : la variation des besoins. Deuxième raison : la variation des ressources. — §§ 23-24 Troisième raison : le sacrifice capitalistique. Lien qui unit toutes les considérations précédentes. — §§ 25-28. Quatrième raison : la dépréciation des biens futurs.


§§ 29-31. Trois raisons pour lesquelles le capital obtient un intérêt : la variation des besoins, la variation des ressources, la dépréciation des biens futurs. — § 32. Quatrième raison : la productivité du capital. Ce qu’il faut entendre par là. — §§ 33-34. Objections de Böhm-Bawerk à « la théorie de la productivité ». — §§ 35-38. Examen de ces objections. — § 39. Résumé : en quel sens la productivité du capital est une cause de l’intérêt. — §§ 40-41. Cinquième raison : la « pseudo-productivité » du capital. — §§ 42-43. Sixième raison : l’existence de biens durables de jouissance plus utiles que les biens non durables du même coût. — §§ 44-45. Les biens durables de jouissance et la productivité du capital.

§§ 46.50. En quoi l’intérêt se distingue des autres sortes de revenus, particulièrement de la rente. — §§ 51-53. Rapports de l’intérêt avec les autres sortes de revenus, dans le cas des biens durables, des capitaux « productifs », etc. — § 54. Théories erronées sur ces rapports. Turgot. — § 55. Loria. — §§ 56-58. Philippovich. — §§ 59-60. Le profit : s’il existe réellement en tant qu’espèce de revenu distincte du revenu du travail, de la rente, de l’intérêt. Confusions où sont tombés les auteurs. — §§ 61-63. Discussion de la question. — § 64. Conclusion du chapitre : solidarité des privilèges économiques.

§ 65. Résumé des chap. II et III. — §§ 66-69. Combinaisons diverses des causes de l’intérêt étudiées plus haut. — § 70. Combien il y a, pour les cas particuliers, d’explications possibles de l’intérêt. — §§ 71-76. Argumentation de Böhm-Bawerk contre l’idée d’une théorie de l’intérêt à explications multiples. Réfutation des arguments de Böhm-Bawerk.

§ 77. Par où ont péché les auteurs qui ont traité de l’intérêt. — §§ 78-79. Classification des théories de l’intérêt. — §§ 80-81. Premier groupe : Walras ; Lehr. — §§ 82-89. Deuxième groupe : particulièrement, examen de la théorie de l’abstinence. — §§ 90-91. Troisième groupe : Turgot et George ( théorie de la fructification). — §§ 92-93. Wieser (théorie de la productivité). — § 94. Quatrième groupe : Marshall.

§ 95. Pourquoi il y a un intérêt du capital, d’après Böhm-Bawerk : l’agio des biens présents. Deux raisons de cet agio. — § 96. La troisième raison de l’agio des biens présents : la « productivité technique » du capital. Première argumentation de Böhm-Bawerk, et réfutation. — § 97. Deuxième argumentation de Böhm-Bawerk. — §§ 98-100. Réfutation. — §§ 101-103. Comment Böhm-Bawerk s’est servi, à propos de la productivité du capital, d’un schème défectueux : nouvelle réfutation de sa deuxième argumentation. — § 104. La productivité du capital et l’intérêt : comment il faut les enchaîner. — §§ 105-107. Comment Böhm-Bawerk s’est trouvé impuissant à expliquer avec sa théorie les diverses variétés d’intérêts : l’intérêt des capitaux productifs. — § 108. L’intérêt des biens durables de jouissance. — § 109. La source des erreurs de Böhm-Bawerk. Jugement d’ensemble sur sa théorie.

§§ 110-111. Théories qui expliquent l’intérêt par une exploitation : Marx. — §§ 112-117. Six autres sens dans lesquels on pourrait parler d’une exploitation capitalistique ; comment, dans aucun de ces sens, la notion de l’exploitation ne saurait fournir, l’explication scientifique de l’intérêt. — 118-120. Comment l’on ne saurait tirer immédiatement de l’explication scientifique de l’intérêt une apologie de celui-ci.

§§ 121-124. La théorie de Böhm-Bawerk sur la détermination du taux de l’intérêt. — § 125. Critiques non fondées ou non essentielles qu’on peut être tenté d’adresser à cette théorie. S’il est légitime de traiter le problème à résoudre comme un problème de statique. — §§ 126-127. S’il est légitime de supposer fixes les données du problème, à savoir le sombre des ouvriers, l’échelle des plus-values capitalistiques, la grandeur du a stock des subsistances ». — §§ 128-131 Jusqu’à quel point il est permis de parler d’un « stock de subsistances ». — § 132. La critique décisive. La durée du processus productif, notion essentielle dans la théorie de Böhm-Bawerk. — §§ 133-137. Discussion de la thèse de Böhm-Bawerk sur les rapports de la durée du processus productif et du produit. — § 138. Que la vérité même de cette thèse ne ferait pas nécessairement vraie la loi de Böhm-Bawerk sur la détermination du taux de l’intérêt. — §§ 139-140. Que la loi de Böhm-Bawerk n’est que partiellement vraie ; différents faits qui la limitent — § 141. Jugement d’ensemble sur la théorie de Böhm-Bawerk.

§ 142. Uniformité de l’intérêt, sa proportionnalité au temps. — §§ 143-144. Formule générale de la détermination du taux de l’intérêt. Méthode à suivre pour une étude plus minutieuse de la question. — §§ 145-148. Causes qui font d’une part que les capitaux exigent des intérêts et d’autre part qu’ils en rapportent, leur influence sur le taux de l’intérêt : la variation des besoins. — § 149. La variation des ressources. — §§ 150-151. La dépréciation des biens futurs. — §§ 152-153. Cause qui fait seulement que les capitaux exigent des intérêts : le sacrifice capitalistique ; lois par lesquelles on peut exprimer l’influence de ce facteur. — §§ 154-157. Causes qui font seulement que les capitaux rapportent des intérêts : la productivité du capital, les biens durables ; variations diverses qui affectent ces causes. — § 158. Conclusion générale : difficultés que l’on rencontre quand on veut appliquer les lois générales aux faits concrets.


§ 1. Erreur où je suis tombé dans mon livre L’utilité sociale de la propriété individuelle. — §§ 2-4. Conséquences de cette erreur ; la question de la « surcapitalisation » ; l’aménagement des forêts, le calcul des intérêts composés. — § 5. Tableau des conflits : l’individu périssable, et la société éternelle. — § 6. Rentabilité et productivité. — § 7. La distribution des richesses. — § 8. Cas où les individus méconnaissent à la fois l’intérêt social et leur intérêt propre : la dépréciation des biens futurs. — § 9. Les erreurs dans les prévisions des capitalistes. — § 10. Si le régime actuel est ou non plus propre que le régime collectiviste à sauvegarder les intérêts de la société dans l’ordre de la capitalisation : comment le problème se pose.