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Page:Laplace - Œuvres complètes, Gauthier-Villars, 1878, tome 13.djvu/170

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par l’analyse et les formules du no 64 du second Livre de la Mécanique céleste, que l’on aura

Pour fixer nos idées, imaginons, comme dans le no 21 du premier Livre de la Mécanicnic céleste, que le plan des et des soit celui de l’écliptique à une époque donnée, que l’axe des forme avec la ligne d’intersection de ce plan et du plan du maximum des aires un angle en sorte que soit la longitude de l’extrémité de l’axe des comptée de cette intersection. Soit l’inclinaison du plan du maximum des aires sur l’écliptique fixe, et dans le plan de ce maximum prenons un axe mobile qui forme l’angle avec la ligne d’intersection dont nous venons de parler. En supposant nul après les différentiations, ce qui revient à supposer l’axe des infiniment voisin de cette intersection ; en faisant de plus on aura, par le no 21 du premier Livre de la Mécanique céleste,

On a par le même numéro, en faisant