intérieur étant le rayon extérieur est , sera
l’équation donnera donc
d’où l’on tire
et par conséquent
La somme de tous les termes étant égale à
la valeur entière de relative aux oscillations de la première espèce dues à l’action de l’astre , sera donc
Cette valeur est celle qui aurait lieu si et étaient rigoureusement constants, et si le fluide prenait à chaque instant la figure qui convient à l’état d’équilibre ; car, et étant nuls dans le cas de l’équilibre, les équations différentielles en et se réduisent à celle-ci, on peut donc, lorsque les variations de et de sont très-lentes, déterminer les oscillations de la première espèce comme si le fluide se mettait à chaque instant en équilibre sous l’action de l’astre qui l’attire ; l’erreur est d’autant moindre que l’astre se meut avec plus de lenteur ; elle est par conséquent insensible pour le Soleil. Elle peut être sen-