gitude de son nœud ascendant. Il en résulte dans pour une planète inférieure, l’inégalité
pour une planète supérieure, cette inégalité devient
En réduisant en nombres ces inégalités, on a, en employant les masses du no 44 du Livre VI, relativement à Vénus,
relativement à Mars,
et relativement à Jupiter,
et étant les longitudes des nœuds ascendants des orbites de Vénus, Mars et Jupiter.
Enfin il est aisé de voir que la valeur de est augmentée, par l’action de , de la quantité relativement à une planète inférieure à la Terre, et de la quantité relativement à une planète supérieure.
Le terme qui, par le no 11, fait partie de la troisième des équations (L) du no 1, augmente encore la valeur de de la quantité étant la partie constante des perturbations du rayon vecteur de l’orbe terrestre. Ainsi la valeur de est augmentée par l’ac-