Livre:Laplace - Œuvres complètes, Gauthier-Villars, 1878, tome 3.djvu
Apparence
Titre | Œuvres complètes de Laplace |
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Volume | 3 |
Auteur | Pierre-Simon Laplace |
Maison d’édition | Gauthier-Villars |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1878 |
Bibliothèque | Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À valider |
Série | 1 • 2 • 3 • 4 • 5 • 6 • 7 • 8 • 9 • 10 • 11 • 12 • 13 • 14 |
Pages
- - - - titre np titre np titre np vii viii ix x xi xii xiii xiv TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 261 262 263 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 313 314 315 316 317 318 319 320 321 322 323 324 325 326 327 328 329 330 331 332 333 334 335 336 337 338 339 340 341 342 343 344 345 346 347 348 349 350 np - - - - -
TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS LE TROISIÈME VOLUME.
Pages
Dédicace
Préface
SECONDE PARTIE.
THÉORIES PARTICULIÈRES DES MOUVEMENTS CÉLESTES.
LIVRE VI.
THÉORIE DES MOUVEMENTS PLANÉTAIRES.
Objet de cette théorie
Chapitre I. — Formules des inégalités planétaires dépendantes des carrés et des puissances supérieures des excentricités et des inclinaisons des orbites
Inégalités dépendantes de la seconde dimension des excentricités et des inclinaisons
Considérations par lesquelles on distingue les plus sensibles de ces inégalités. N° 3
Inégalités dépendantes des dimensions supérieures des excentricités et des inclinaisons
Forme des termes qui les produisent. N° 7
Examen des cas où elles deviennent sensibles. Ils sont dus aux rapports presque commensurables des moyens mouvements ; applications à la théorie de Jupiter et de Saturne pour les termes de la troisième dimension. N° 8
Inégalités dépendantes de la cinquième dimension. Sont sensibles dans la théorie de Jupiter et de Saturne. Leur calcul pour ces planètes. N° 9
Inégalités dépendantes de la troisième dimension, qui deviennent sensibles dans la théorie de Mercure troublé par la Terre. N° 10
Les inégalités dépendantes de la seconde dimension, qui affectent le mouvement en latitude de la planète troublée, en introduisent d’analogues dans le mouvement de la planète perturbatrice. Ce sont les seules inégalités en latitude qui soient sensibles dans le système planétaire, parmi celles qui dépendent du produit des excentricités et des inclinaisons. N° 11
Chapitre II. — Inégalités dépendantes du carré de la force perturbatrice
Développements de leurs expressions analytiques données dans les n° 65 et 69 du Livre II. Elles résultent de l’influence que les inégalités à longue période ont sur les termes dépendants du carré des masses perturbatrices. Les variations des excentricités et des périhélies peuvent introduire de semblables inégalités dans les moyens mouvements ; mais on prouve que les termes dont ces inégalités se composent s’entre-détruisent d’eux-mêmes, d’où il suit que les moyens mouvements et les grands axes n’éprouvent aucune altération par l’effet des termes dont il sagit. N° 12
Ces variations n’altèrent point les relations trouvées dans le Livre II entre les éléments des orbites. N° 15
Examen des termes de l’ordre du carré des masses perturbatrices, qui ont une influence
sensible sur les grandes inégalités de Jupiter et de Saturne. N° 16
Corrections qu’il faut introduire dans les moyens mouvements de ces deux planètes, en
vertu de leurs grandes inégalités. N° 17
Les coefficients des inégalités des planètes varient à raison des variations séculaires des
éléments des orbites. Manière d’y avoir égard. N° 18
Chapitre III. — Des perturbations dues à l’ellipticité du Soleil
Cette ellipticité donne à la planète un mouvement direct dans son périhélie, et aux nœuds de l’orbite sur le plan de l’équateur solaire, un mouvement rétrograde égal au précédent. Ces inégalités s’affaiblissent rapidement à mesure que la distance au Soleil augmente ; elles ne sont sensibles que pour Mercure. L’ellipticité du Soleil n’influant ni sur l’excentricité de l’orbite, ni sur son inclinaison, ne peut altérer la stabilité du système planétaire. N° 18 bis
Chapitre IV. — Des perturbations du mouvement des planètes par l’action de leurs satellites
Ces perturbations se déterminent par les théorèmes du n° 10 du Livre II. Leur grandeur dépend des masses des satellites par rapport à celle de la planète, et de leurs élongations vues du Soleil. Elles ne sont sensibles que dans la théorie de la Terre
troublée par la Lune. N° 19
Chapitre V. — Considérations sur la partie elliptique du rayon vecteur et du mouvement des planètes N° 20
Chapitre VI. — Valeurs numériques des quantités qui entrent dans les expressions des inégalités planétaires
Valeurs des masses des planètes. Considérations d’après lesquelles elles ont été calculées. N° 21
Table des éléments planétaires. N° 22
Calcul numérique des formules données dans le n" 49 du Livre II. N° 23
Chapitre VIII. — Théorie de Mercure
Examen de la limite jusqu’à laquelle les approximations doivent s’étendre dans l’évaluation du rayon vecteur. Valeurs numériques des inégalités sensibles qui affectent la longitude et le rayon vecteur. Elles sont produites par l’action de Vénus, de la Terre et de Jupiter.
Inégalités indépendantes des excentricités.
Inégalités dépendantes de la première puissance des excentricités.
Inégalités dépendantes de la seconde dimension des excentricités et des inclinaisons des orbites.
Inégalités dépendantes de la troisième dimension de ces mêmes quantités.
Inégalités indépendantes des excentricités.
Inégalités dépendantes de la première puissance des excentricités.
Inégalités dépendantes de la seconde dimension des excentricités et des inclinaisons des orbites.
Inégalités dépendantes de la troisième dimension de ces mêmes quantités.
Les inégalités en latitude sont insensibles et au-dessous d’un quart de seconde. N° 27
Chapitre IX. — Théorie de Vénus
Examen de la limite jusqu’à laquelle les approximations doivent s’étendre dans l’évaluation du rayon vecteur. Valeurs numériques des inégalités sensibles qui affectent la longitude et le rayon vecteur. Les planètes qui les produisent sont la Terre, Mars, Jupiter et Saturne.
Inégalités indépendantes des excentricités.
Inégalités dépendantes de la première puissance des excentricités.
Inégalités dépendantes de la seconde dimension des excentricités et des inclinaisons, des orbites.
Inégalités dépendantes de la troisième dimension de ces mêmes quantités.
Inégalités indépendantes des excentricités.
Inégalités dépendantes de la première puissance des excentricités.
Inégalités dépendantes de la seconde dimension des excentricités et des inclinaisons, des orbites.
Inégalités dépendantes de la troisième dimension de ces mêmes quantités.
Inégalités en latitude. Elles sont dues à l’action de Mars et de Jupiter. N° 28
Chapitre X. — Théorie du mouvement de la Terre
Examen de la limite jusqu’à laquelle les approximations doivent s’étendre dans l’évaluation du rayon vecteur. Valeurs numériques des inégalités sensibles qui affectent la longitude et le rayon vecteur terrestre. Les planètes qui les produisent sont Vénus, Mars, Jupiter et Saturne.
Inégalités indépendantes des excentricités.
Inégalités dépendantes de la première puissance des excentricités.
Inégalités dépendantes de la seconde dimension des excentricités et des inclinaisons des orbites.
Inégalités dépendantes de la troisième dimension de ces mêmes quantités. Inégalités du mouvement de la Terre en latitude. Elles sont produites par l’action Vénus et de Jupiter. N° 29
Inégalités indépendantes des excentricités.
Inégalités dépendantes de la première puissance des excentricités.
Inégalités dépendantes de la seconde dimension des excentricités et des inclinaisons des orbites.
Inégalités dépendantes de la troisième dimension de ces mêmes quantités. Inégalités du mouvement de la Terre en latitude. Elles sont produites par l’action Vénus et de Jupiter. N° 29
Inégalités du mouvement de la Terre produites par l’action de la Lune. N° 30
Des variations séculaires de l’orbe terrestre, de l’équateur et de la longueur de l’année. L’action du Soleil et de la Lune influe considérablement sur leurs valeurs. Détermination de l’époque à laquelle le grand axe de l’orbe terrestre coïncidait avec la ligne des équinoxes, et de celle à laquelle ces deux lignes étaient perpendiculaires l’une à l’autre. N° 31
Chapitre XI. — Théorie de Mars
Examen de la limite jusqu’à laquelle les approximations doivent s’étendre dans l’évaluation du rayon vecteur. Valeurs numériques des inégalités sensibles qui affectent la longitude et le rayon vecteur. Les planètes qui les produisent sont Vénus, la Terre, Jupiter et Saturne.
Inégalités indépendantes des excentricités.
Inégalités dépendantes de la première puissance des excentricités.
Inégalités dépendantes de la seconde dimension des excentricités et des inclinaisons des orbites.
Inégalités indépendantes des excentricités.
Inégalités dépendantes de la première puissance des excentricités.
Inégalités dépendantes de la seconde dimension des excentricités et des inclinaisons des orbites.
Les inégalités en latitude sont très-peu sensibles. Celle qui l’est le plus résulte de l’action de Jupiter. N° 32
Chapitre XII. — Théorie de Jupiter
Examen de la limite jusqu’à laquelle les approximations doivent s’étendre dans l’évaluation du rayon vecteur. Valeurs numériques des inégalités sensibles qui affectent la longitude et le rayon vecteur. Les planètes qui les produisent sont la Terre, Saturne et Uranus, mais principalement Saturne.
Inégalités indépendantes des excentricités.
Inégalités dépendantes de la première puissance des excentricités. Elles sont assez considérables pour qu’il soit nécessaire d’avoir égard à la variation de leurs coefficients.
Inégalités dépendantes des carrés et des produits des excentricités et des inclinaisons. Sont produites par la seule action de Saturne.
Inégalités dépendantes des troisième et cinquième dimensions des excentricités et des inclinaisons, ainsi que du carré de la force perturbatrice. Ces dernières, qui sont dues aux inégalités à longues périodes, influent considérablement sur les variations séculaires des éléments elliptiques. Grande inégalité du moyen mouvement. Elle est produite par l’action de Saturne. N° 33
Inégalités indépendantes des excentricités.
Inégalités dépendantes de la première puissance des excentricités. Elles sont assez considérables pour qu’il soit nécessaire d’avoir égard à la variation de leurs coefficients.
Inégalités dépendantes des carrés et des produits des excentricités et des inclinaisons. Sont produites par la seule action de Saturne.
Inégalités dépendantes des troisième et cinquième dimensions des excentricités et des inclinaisons, ainsi que du carré de la force perturbatrice. Ces dernières, qui sont dues aux inégalités à longues périodes, influent considérablement sur les variations séculaires des éléments elliptiques. Grande inégalité du moyen mouvement. Elle est produite par l’action de Saturne. N° 33
Inégalités en latitude. Ont pour cause l’action de Saturne. N° 34
Chapitre XIII. — Théorie de Saturne
Examen du degré auquel les approximations doivent s’étendre dans l’évaluation du rayon vecteur. Valeurs numériques des inégalités sensibles qui affectent la longitude et le rayon vecteur. Les planètes qui les produisent sont Jupiter et Uranus.
Inégalités indépendantes des excentricités.
Inégalités dépendantes de la première puissance des excentricités.
Inégalités dépendantes des carrés et des produits des excentricités et des inclinaisons.
Inégalités dépendantes de la troisième et cinquième dimension des excentricités et des inclinaisons, ainsi que du carré de la force perturbatrice. Grande inégalité de Saturne. C’est la réaction de celle de Jupiter. N° 35
Inégalités indépendantes des excentricités.
Inégalités dépendantes de la première puissance des excentricités.
Inégalités dépendantes des carrés et des produits des excentricités et des inclinaisons.
Inégalités dépendantes de la troisième et cinquième dimension des excentricités et des inclinaisons, ainsi que du carré de la force perturbatrice. Grande inégalité de Saturne. C’est la réaction de celle de Jupiter. N° 35
Inégalités en latitude. Sont produites par l’action de Jupiter et d’Uranus. N° 36
Chapitre XIV. — Théorie d’Uranus
Examen du degré auquel les approximations doivent s’étendre dans l’évaluation du rayon vecteur. Valeurs numériques des inégalités sensibles qui affectent la longitude et le rayon vecteur. Elles sont dues à l’action de Jupiter et de Saturne.
Inégalités indépendantes des excentricités.
Inégalités dépendantes de la première puissance des excentricités.
Inégalités dépendantes de la seconde dimension des excentricités et des inclinaisons.
Inégalités dépendantes de la troisième dimension des excentricités et des inclinaisons. Il n’y en a qu’une seule produite par l’action de Saturne. N° 37
Inégalités indépendantes des excentricités.
Inégalités dépendantes de la première puissance des excentricités.
Inégalités dépendantes de la seconde dimension des excentricités et des inclinaisons.
Inégalités dépendantes de la troisième dimension des excentricités et des inclinaisons. Il n’y en a qu’une seule produite par l’action de Saturne. N° 37
Inégalités en latitude. Sont produites par l’action de Jupiter et de Saturne. N° 38
Chapitre XVI. — Sur les masses des planètes et de la Lune
Réflexions sur les valeurs données à ces masses dans le n° 21. Nouvelle détermination de celles de Vénus et de Mars. Discussion de celle de la Lune par la comparaison des divers phénomènes qui peuvent la déterminer, tels que les observations des marées, l’équation lunaire des Tables du Soleil, la nutation de l’axe terrestre et la parallaxe de la Lune. Il en résulte que cette masse est un peu moindre que ne l’indiquent les marées observées à Brest. N° 44
Chapitre XVIII. — De l’action des étoiles sur le système planétaire
Le grand éloignement de ces astres rend leur action insensible. Réflexions sur la comparaison
des formules précédentes avec les observations. N° 47
LIVRE VII.
THÉORIE DE LA LUNE.
Exposé de cette théorie ; ses difficultés particulières. Considérations par lesquelles on doit y diriger les approximations. Comment on peut en conclure plusieurs éléments importants pour la théorie du système du monde, et entre autres l’aplatissement de la Terre, qui s’obtient ainsi avec plus d’exactitude que par les observations directes
Chapitre I. — Intégration des équations différentielles du mouvement lunaire
Équations différentielles de ce mouvement données dans le n° 15 du Livre II. Manière d’avoir égard, dans les calculs, à la non-sphéricité de la Lune et de la Terre. N° 1
Développements des quantités qui entrent dans les équations différentielles, en supposant ces deux corps sphériques. N° 2
L’écliptique, dans son mouvement séculaire, emporte l’orbite de la Lune, de manière que l’inclinaison moyenne de cette orbite sur elle reste toujours la même, Cette circonstance, indiquée par l’analyse, simplifie les calculs, en ce qu’elle permet de
prendre pour plan fixe de projection celui de l’écliptique. N° 3
Recherche de la partie elliptique des mouvements de la Lune et de la Terre. N° 4
Principes relatifs aux degrés de petitesse des quantités qui entrent dans les expressions des coordonnées de la Lune. Examen de l’influence que les intégrations successives peuvent avoir sur les différents termes dont elles sont composées. Indication des termes du rayon vecteur qui produisent l’évection et l’équation annuelle. N° 5
Recherche des termes de l’ordre du carré et des puissances supérieures des masses perturbatrices qui acquièrent une influence sensible par les intégrations. Il est nécessaire d’avoir égard aux perturbations du mouvement de la Terre par la Lune. N° 8
Réunion de ces termes aux précédents. Développement complet de l’équation différentielle qui donne le rayon vecteur. N° 9
Intégration de cette équation. Inégalités qui en résultent. Expression du mouvement du périgée lunaire
La variabilité de l’excentricité de l’orbe terrestre introduit une inégalité séculaire dans la constante de la parallaxe lunaire ; mais cette inégalité est insensible
La même cause donne une inégalité séculaire dans le mouvement du périgée lunaire ; ce qui est conforme aux observations. Expression analytique de cette inégalité
L’excentricité de l’orbe lunaire est assujettie à une variation séculaire analogue à celle de la parallaxe, et pareillement insensible. N° 10
Développement de l’équation différentielle qui donne la latitude, en n’ayant d’abord égard qu’à la première puissance des forces perturbatrices. N° 11
Recherche des termes de l’ordre du carré de ces forces qui acquièrent une influence sensible sur l’expression de la latitude. N° 12
Réunion de ces termes aux précédents, et développement complet de l’équation différentielle qui donne la latitude. N° 13
Intégration de cette équation. Inégalités qui en résultent. Expression du mouvement rétrograde des nœuds
La variabilité de l’excentricité de l’orbe terrestre introduit dans ce mouvement une inégalité séculaire. Expression analytique de cette inégalité. Son rapport avec celle du périgée
L’inclinaison de l’orbite lunaire à l’écliptique vraie est pareillement variable en vertu de la même cause ; mais cette variation est insensible. N° 14
Développement de l’équation différentielle qui donne le temps ou la longitude moyenne en fonction de la longitude vraie. Intégration de cette équation. Inégalités qui en résultent. N° 15
La longitude moyenne éprouve aussi un changement séculaire résultant de la variabilité de l’excentricité de l’orbe terrestre ; expression de cette inégalité. Rapports analytiques des équations séculaires des moyens mouvements de la Lune, de son périgée et de ses nœuds
Détermination numérique des divers coefficients qui entrent dans les formules précédentes, et développement numérique de l’expression de la longitude moyenne. Les perturbations de l’orbe terrestre par la Lune se réfléchissent à cette dernière par le moyen du Soleil, et elles s’affaiblissent par cette transmission. Valeur numérique du mouvement du périgée et de son équation séculaire. Cette équation a un signe contraire à celle du moyen mouvement. Expression numérique du mouvement des nœuds et de son équation séculaire. Cette équation a aussi un signe contraire à celle du moyen mouvement ; d’où il suit que les mouvements des nœuds et du périgée se ralentissent quand celui de la Lune s’accélère. Rapports numériques de ces trois équations séculaires. Équation séculaire de l’anomalie moyenne. N° 16
mouvement du périgée et de son équation séculaire. Cette équation a un signe contraire à celle du moyen mouvement. Expression numérique du mouvement des nœuds et de son équation séculaire. Cette équation a aussi un signe contraire à celle du moyen mouvement ; d’où il suit que les mouvements des nœuds et du périgée se ralentissent quand celui de la Lune s’accélère. Rapports numériques de ces trois équations séculaires. Équation séculaire de l’anomalie moyenne. N° 16
Inégalités les plus sensibles du quatrième ordre qui entrent dans l’expression de la longitude moyenne. N° 17
Expression numérique de la latitude. N° 18
Expression numérique de la parallaxe lunaire. N° 19
Chapitre II. — Des inégalités lunaires dues à la non-sphéricité de la Terre et de la Lune
La non-sphéricité de la Terre ne produit, dans la latitude de la Lune, qu’une seule inégalité sensible. On peut représenter cet effet, en supposant que l’orbite de la Lune, au lieu de se mouvoir sur le plan de l’écliptique avec une inclinaison constante, se meut avec la même condition sur un plan passant toujours par les équinoxes entre l’écliptique et l’équateur. Cette inégalité est très-propre à faire connaître l’aplatissement de la Terre. Elle est la réaction de la nutation de l’axe terrestre sur le sphéroïde lunaire, et il y aurait équilibre autour du centre de gravité de la Terre en vertu des forces qui produisent ces deux inégalités, si toutes les molécules de la Terre et de la Lune étaient fixement liées entre elles, la Lune compensant la petitesse
des forces qui l’animent par la longueur du levier auquel elle est attachée.
La non-sphéricité de la Terre n’influe sur le rayon vecteur de la Lune que d’une manière insensible ; la longitude de la Lune n’éprouve de la part de la même cause qu’une seule inégalité appréciable. Le mouvement du périgée et celui du nœud n’en reçoivent que de très-petites augmentations. N° 20
La non-sphéricité de la Lune n’introduit dans son mouvement que des inégalités insensibles. N° 21
Chapitre III. — Des inégalités de la Lune ducs à l’action des planètes
Ces inégalités sont de deux sortes : les unes sont dues à l’action directe des planètes sur le mouvement de la Lune ; les autres résultent des perturbations que les planètes font éprouver au rayon vecteur terrestre. Perturbations qui se réfléchissent à la Lune par le moyen du Soleil, en s’agrandissant par les intégrations qui leur donnent de petits diviseurs. Détermination de ces inégalités pour Vénus, Mars et Jupiter. La variabilité des excentricités des orbes planétaires introduit, dans la longitude moyenne de la Lune, des équations séculaires analogues à celle que produit la variation de l’excentricité de l’orbe terrestre, réfléchie à la Lune par le moyen du Soleil ; mais elles sont tout à fait insensibles par rapport à cette dernière. Ainsi l’action indirecte des planètes sur la Lune, transmise par le moyen du Soleil, l’emporte beaucoup à cet égard sur leur action directe. N° 22
Chapitre IV. — Comparaison de la théorie précédente avec les observations
Valeurs numériques de l’inégalité séculaire du moyen mouvement de la Lune, de cellesdu mouvement du périgée et du nœud de l’orbite lunaire. Considérations qui confirment leur exactitude. N° 23
Inégalités périodiques du mouvement lunaire en longitude. Accord des coefficients donnés par la théorie avec ceux des Tables lunaires de Mason et de Bürg. Une de ces inégalités dépend de la parallaxe du Soleil. En déterminant son coefficient d’après les observations, on en déduit la valeur de cette parallaxe, telle que la donnent les passages de Vénus. Une autre de ces inégalités dépend de l’aplatissement de la Terre. La valeur de son coefficient, déterminée d’après les Tables de Mason et de Bürg, indique que la Terre est moins aplatie que dans le cas de l’homogénéité, et que son aplatissement est . N° 24
Inégalités du mouvement de la Lune en latitude. Accord des coefficients donnés par la théorie avec ceux des Tables de Mason et de Bürg. Une de ces inégalités dépend de l’aplatissement de la Terre. Son coefficient, déterminé d’après les observations, donne le même aplatissement que l’inégalité en longitude qui dépend du même élément. Ainsi ces deux résultats s’accordent à montrer que la Terre est moins aplatie que dans le cas de l’homogénéité. N° 25
Expression numérique de la parallaxe horizontale de la Lune. Son accord avec les Tables de Mason et de Bürg. N° 26
Chapitre V. — Sur une inégalité à longue période qui paraît exister dans le mouvement de la Lune
L’action du Soleil sur la Lune produit, dans le mouvement de ce satellite, une inégalité dont l’argument est le double de la longitude du nœud de l’orbite lunaire, plus la longitude de son périgée, moins trois fois la longitude du périgée du Soleil. La considération de la non-sphéricité de la Terre peut encore introduire dans le mouvement de la Lune deux autres inégalités, dont la période est à très-peu près la même que celle de la précédente, et qui, vu la position actuelle du périgée solaire, se confondent à peu près avec elle. Ces trois inégalités sont très-difficiles à déterminer par l’analyse : les deux dernières semblent devoir être insensibles. N° 27
La première est évidemment indiquée par les observations. Détermination de son coefficient. N° 28
Chapitre VI. — Des variations séculaires des mouvements de la Lune et de la Terre, qui peuvent être produites par la résistance d’un fluide éthéré répandu autour du Soleil
La résistance de l’éther ne produit d’équation séculaire que dans le moyen mouvement de la Lune, elle n’en produit aucune sensible dans les mouvements du périgée et des nœuds. N° 29
L’équation séculaire du moyen mouvement de la Terre, produite par la résistance de l’éther, est environ cent fois plus petite que l’équation correspondante du moyen mouvement de la Lune. N° 30
SUPPLÉMENT
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