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LIVRE XVI.
se réduit, à très-peu près, à
La troisième des équations (L) du no 1 du Livre VII donne ainsi, en désignant par le terme de qui dépend de
étant, comme dans le numéro précédent, égal à on a donc
On a, à très-peu près, égal à et est assez grand par rapport à pour que l’on puisse négliger ici ce dernier terme, en sorte que l’on a, aux quantités près de l’ordre
en faisant
Pour avoir le terme de dépendant de on observera que l’on peut considérer l’expression précédente de comme étant relative à une inclinaison de l’orbite lunaire égale à et dont serait le mouvement du nœud. Or on a vu, dans le no 7 du Livre VII, que l’inclinaison de l’orbite lunaire produit dans en vertu de l’action du Soleil, le terme
l’inclinaison produira donc un terme semblable, que nous représenterons par
et l’on voit, par le no 7 cité, que l’on peut, en négligeant les quan-