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xxxiv
TABLE DES MATIÈRES.
Pages
Examen de l’influence que peut avoir l’humidité de l’air sur les réfractions. Théorie de l’évaporation. Formule qui représente les variations de la force élastique des vapeurs, correspondantes aux changements de température. L’influence de la vapeur d’eau sur la force réfractive de l’air est presque insensible, parce que l’excès de sa force réfractive sur celle de l’air est à fort peu près compensé par sa plus petite densité. N° 10 
 273


Chapitre II. — Des réfractions terrestres 
 278


Définition de ces réfractions et détermination des formules qui les expriment. N° 11 
 278


Chapitre III. — De l’extinction de la lumière des astres dans l’atmosphère, et de l’atmosphère du Soleil 
 283


Formules qui donnent cette extinction pour les différentes inclinaisons du rayon lumineux à l’horizon. On peut dans ces formules employer, sans erreur sensible, l’hypothèse d’une température uniforme ; alors les logarithmes des intensités de la lumière sont comme les réfractions astronomiques divisées par les cosinus des hauteurs apparentes. N° 12 
 283
Calcul de la hauteur de l’atmosphère solaire, en partant des expériences de Bouguer sur les différentes intensités de la lumière de cet astre, vers ses bords et à son centre. Détermination de l’affaiblissement que la lumière du Soleil éprouve en traversant l’atmosphère de cet astre : le Soleil dépouillé de son atmosphère nous paraîtrait douze fois plus lumineux. N° 13 
 285


Chapitre IV. — De la mesure des hauteurs par le baromètre 
 290


Relation qui existe entre les hauteurs du baromètre et du thermomètre et l’élévation au-dessus de la surface terrestre. Formule pour la mesure des hauteurs applicable à toutes les latitudes et dans laquelle on a égard à la diminution de la pesanteur dans l’espace. N° 14 
 290


Chapitre V. — De la chute des corps qui tombent d’une grande hauteur 
 295


Équation du mouvement d’un corps qui tombe, en ayant égard au mouvement de rotation de la Terre, quelles que soient d’ailleurs la figure de la Terre et la résistance de l’air. Si le corps part du repos, il s’écarte, dans sa chute, à l’orient de la verticale, mais sa déviation est nulle vers l’équateur. N° 15 
 295
Calcul de la déviation du corps lorsqu’il ne part point du repos ; s’il est lancé de bas en haut, il retombe à l’occident de la verticale. N° 16 
 303


Chapitre VI. — Sur quelques cas où l’on peut rigoureusement obtenir le mouvement de plusieurs corps qui s’attirent 
 307


Conditions dans lesquelles ce mouvement peut s’obtenir, et détermination des courbes que les corps décrivent lorsqu’elles ont lieu. Application au mouvement de trois corps. Si la Lune eût été placée dans l’origine en opposition avec le Soleil, que sa distance à la Terre eût été la centième partie du rayon de l’orbe terrestre, et que la Terre et elle eussent reçu des vitesses parallèles, proportionnelles à leurs distances au Soleil, 
 307