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Page:Larrieu - Une poignée de vérités, 1920.djvu/117

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Dans le Québec, ces nouvelles idées n’ont pas pénétré : tout le monde à l’occasion, met la main à l’ouvrage. Les vieux principes de morale, de religion se retrouvent là, purs et intacts.

Au milieu des races si diverses, si nombreuses qui peuplent le Nord du Nouveau Continent, la race Canadienne-française est restée normale. Elle a compris le sens de la vie, elle garde son idéal, elle tient le flambeau de la Charité, de l’Honnêteté, de la Beauté vraie, de tout ce qui fait la raison d’être de l’humanité.

C’est elle qui éclairera la route un jour, et qui plus tard, fatalement, logiquement, mathématiquement, sera imitée par les races qui la jalousent et la calomnient aujourd’hui.

Pendant que toutes les nations du monde, y compris les États-Unis, tremblent sous la menace terrifiante du bolchévisme envahissant, le Québec garde sa sereine tranquillité, son éternel bon sens. Cette dégradante théorie ne peut avoir de prise sur des traditionalistes comme ceux-là.


XVIII

CONCLUSIONS


Qu’on ne s’y trompe pas : ces deux races qui ne fu-