Page:Lavignac - Les Gaietés du Conservatoire.djvu/126

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
120
LES GAIETÉS DU CONSERVATOIRE

Entendons-nous bien ; ce que je trouve drôle encore maintenant, ce n’est nullement le crâne dénué de tout cheveu d’un homme de génie, essentiellement respectable, ou d’un vieillard quelconque ; c’est la façon dont il l’accoutrait. Il avait une manière à lui de plier en quatre une serviette et de se la poser sur la tête qui faisait qu’il avait l’air d’être coiffé du mezzaro des femmes romaines, ce qui était de l’effet le plus comique.

C’est ainsi qu’il passait la plus grande partie de ses matinées, surtout en été, à sa villa de Passy, toujours occupé à écrire, malgré sa réputation de paresseux, à composer quelque