SUR LES Émanations élastiques. 14*^ Vapeur élaftique un morceau de falpécre ; à i'inf-* tant, il y a été environné d'une fumée blanche de la même manière que (i l'on eût mêlé cet air avec de l'air nîtreux : cette expérience prouve encore que l'efprit-de Tel en vapeur eit dans quelques circonftances plus fort que l'acide nî- treux , qu'il peut le décompofer & le chafler de fa bafe.
Prefque toutes les liqueurs abforbent très"' prompcement la vapeur de l'efprit-de-fel ; l'huile de lin l'abforbe plus lentement que les autres , §s elle devient noire & gluante,
A B T i c L E X.
Obfervations diverfes»
M. Prieftley place dans cet article , quelques expériences qui n'ont pu entrer dans les divifions précédentes. Il a mis dans une phiole de la petite bierre , & l'a placée fous une jarre renverfée dans de l'eau: il y a eu dégagement d'air dans les pre- miers jours , enfuite une diminution graduelle ? qui a été portée environ à un dixième de la quan, tité d'air primitive. La bierre , après cette épo- que , étoit aigre ; l'air qui reftoit éteignoit les. chandelles j cependant ayant eiTayé de le milet
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