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fpécifique; le volume déplacé par le pefe-lîqueuf ne pefoit plus que cp onces 4. gros 14. grains ; ce qui donne le rapport de pefanteur fpécifique avec l'eau diftillée comme 1 000000 à 1 04. 1 0^3 • A chacune de ces additions de chaux , la folution alkaline faifoit fenfiblement moins d'ef- fervefcence avec les acides; enGn après la troi- fiéme , il n'y avoir plus aucune effervefcence ; on voyoit feulement , en prêtant une grande attention , quelques bulles très fines qui s'éle- voient à la furface de la liqueur , ou qui s'atta- choient aux parois du vafe 011 fe faifoit la préci- pitation. Quelque quantité de chaux que j'aye enfuite ajoutée , je n'ai pu diminuer davantage la pefanteur fpéciFique de la folution , ni parvenir au point qu'il ne fe dégageât plus aucune petite bulle, loifqu'on la méloit avec les acides.
Réflexions.
Cette Expérience donne la proportion de chau.t éteinte » néceflaire pour amener la fonde à l'crac de caufticité: on voit qu'elle efl: de trois parties de chaux contre deux de fonde en criftaux ; il y a même une quantité de chaux excédente à cell^ qui feroit indifpenfablement néceflaire : mais il .vaut mieux, lorfqu'on dçfire obtenir une leffivei
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