Page:Le Braz - La légende de la mort chez les Bretons vol 2 1902.djvu/22

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Quand les pêcheurs de Trévou-Tréguignec s'embarquent la nuit pour la pêche, ils voient souvent des mains de cadavres se cramponner au bordage des bateaux. Les femmes ne s'accrochent pas ainsi avec les mains, mais elles laissent flottersur les eauxleurs cheveux, où les rames s'embarrassent.

i.