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Page:Le Franc - Grand-Louis l’innocent, 1925.djvu/125

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GRAND-LOUIS L’INNOCENT

Elle pensait avoir à lutter, à débattre le pour ou le contre, à choisir entre l’installation à Paris et le retour à Port-Navalo. Mais le problème ne se posait même pas. Elle savait bien que sa place était là-bas, sur le promontoire de la lande, où quelqu’un chaque jour venait en vain se hausser devant des fenêtres fermées. Ce retour serait, non une solution, mais un acte naturel, tout à fait dans l’harmonie des choses.

Un départ comporte un retour.

Toutefois, il n’y avait aucune nécessité d’en hâter l’heure.