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360 | LE KORAN. |
- N’ai-je point stipulé avec vous, ô enfants d’Adam ! de ne point servir Satan ? (Il est votre ennemi déclaré.)
- Adorez-moi, c’est le sentier droit.
- Il a séduit une grande partie d’entre vous. Ne l’avez-vous pas compris ?
- Voilà la géhenne qu’on vous promettait.
- Aujourd’hui chauffez-vous à son feu, pour prix de vos œuvres.
- Aujourd’hui nous apposerons un sceau sur leurs lèvres ; leurs mains nous parleront seules, et leurs pieds témoigneront de leurs actions.
- Si nous voulions, nous leur ôterions la vue ; ils s’élanceraient alors précipitamment sur le chemin ; .mais comment le verront-ils ?
- Si nous voulions, nous leur ferions changer de forme ; ils ne sauraient ni marcher en avant ni revenir sur leurs pas.
- Nous courbons le dos de celui dont nous prolongeons les jours. Ne le comprennent-ils pas ?
- Nous ne lui (à Mohammed) avons pas enseigné la poésie, et elle ne lui sied pas, et ce livre, le Koran, n’est qu’un avertissement et une lecture claire[1],
- Pour avertir les vivants, et pour que la sentence portée contre les infidèles soit exécutée.
- Ne voient-ils pas que, parmi les choses formées par nos mains, nous avons créé les animaux pour eux, et qu’ils en disposent en maîtres ?
- Nous les leur avons soumis ; ils en font des montures de quelques-uns, et se nourrissent d’autres.
- Dans ces animaux ils trouvent de nombreux avantages, ils y trouvent de la boisson (leur lait). Ne seront-ils pas reconnaissants envers nous ?
- Ils adorent d’autres divinités que Dieu pour obtenir leur assistance.
- Mais elles ne sauraient les secourir : ce sont plutôt eux qui servent d’armée à leurs divinités.
- Que leurs discours donc ne t’affligent pas, ô Mohammed ! nous connaissons ce qu’ils cachent et ce qu’ils mettent au grand jour.