à voir, je reste ainsi troussée : nous sommes seules, nous pouvons nous accorder ce plaisir. Moi aussi, j’aime admirer les jambes de femme, avant d’entrer au kiosque, tu passeras la première.
— Irène, murmura Olympe, j’ai vu tes nénés lors du bal de Sigismond, je vois tes jambes, pourquoi ne me montrerais-tu pas… tout.
Irène tourna la tête, en continuant de marcher et répondit :
— Alors fais comme moi, nous sommes nos maîtresses, vive la fête.
D’un mouvement brusque, elle attira les jupes sur ses bras et se dévoila jusqu’à la ceinture.
— Oh, dit Olympe, tu as le cul digne de tout le reste.
Irène, prévoyant la scène et ne voulant pas se risquer à des écarts sur des herbes humides, pris sa course, les jupes troussées, et répliqua :
— À qui arrivera la première au kiosque.
Elle courait bien, Olympe lui emboîtait le pas, les jupes troussées comme elle, bégayant :