Page:Le Roman du Renart, supplément, 1835.djvu/109

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Vers 1067-68 :

Ci tous herbergerez, ce cuic :
Que Diex vous doint très male nuit ! (7607-5.)


Vers 2072-76 :

Lieve la hache, si va près :
A poi Renars n’est estetiez ;
Mais li cous estoit arestez. (7607-5, 68 C.)


Vers 2079-80 :

Moult fu bleciés : à lui le trait ;
Fuiant s’en va dolant et lait :
Dolant quant il se sent bleciés,
Liés qu’il n’i a le pié laissié. (195 B.)


Pour le vers 2080, on lit ces deux-ci, suivis du dernier de la variante ci-dessus :

Fuiant s’en va dolanz et liez ;
Dolans de ce qu’il fu bleciez. (7607-5, 1980.)
Dolanz de ce qu’il est gastez,
Et liez de ce qu’il n’est tuez. (68 C.)
Dolent fu qu’il estoit blecié
Et liez qu’il n’ot le pié trenchié. (7607.)


Vers 2080-94 :

Quant eschapa moult en fu liez :
Durement a esté quassez ;
A poi qui n’a esté tuez ;
Et li vilains est agrégiez,
Qui moult se tient à engigniez.
Li chien le prenent assuir,
Si conmancèrent à glatir
Tant que il furent tuit lassé ;
Illec ont Renart trespassé.