Page:Le Roman du Renart, supplément, 1835.djvu/110

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Tôt maintenant tornent arrière.
Renars meine, grant poudrière,
S’en va fuiant et moult s’esmaie
Que moult li cuit et diaut sa plaie.


Après le vers 2100 :

Que d’un, que d’el a grant martire, (195 C.)

la branche finit par ceux-ci :

S’en est tornés à moult grant peine,
Si conme aventure le meine. (1980.)


Vers 2107-21 :

Ainz n’an sot mot, tant que il vit
Thiebert, cui tot li sans frémit.
Renars le vi, si l’avisa,
Par mal talant le regarda ;
Grant talant a de lui baillier. (195. C.)


Vers 2153-203 :

Dist Thiebers : Vous dites moult voir ;
Assés y ha de mal, pour voir ;
Chaucuns se pense de mal dire :
Ne sai de cui doie pis dire.
Thiebers ha paour durement. (98-14.)


Vers 2191-92 :

Bien cuida sor moi escoter,
Mais il n’i sot preu assener. (195 B.)


Vers 2196-202 :

Ce sai-ge bien, ce dist Tyebert ;
Dès or vous soit pardoné ; sire,
Je ne l’ di par mal ne par ire. (7607-5, 195 B.)