Page:Le Sérail royal ou les voluptés secrètes d’un débauché - La Belle Letty, 1892.djvu/106

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bonds comme si j’étais enconnée. C’était la vue de ce pieu, long raide ; passant et repassant comme un velours sur cette peau, fine, lisse ; se coiffant en se retirant, et se décoiffant en avançant, me montrant sa jolie tête rouge et sa bouche mignonne qui rejetait des gouttes perlées de foutre que j’aurais voulu recevoir.

Devinant mon désir, Marietta se mit entre mes jambes, écartant bien les cuisses, patinant, pinçant et poussant les fesses qui étaient devant elle. Bibi faisait des petits soubresauts à chaque pincée, mais en même temps il avançait toujours vers le haut. Je vis bientôt ses couilles me frôler les tétons et je sentis ce cher vit sous mon menton. Je le pris des deux mains, je le relevai et je me l’enfonçai jusqu’au gosier, le suçant, le léchant, le branlant avec une joie inexprimable.

— Ma Letty, ma chère Letty, c’est divin, ce que tu fais ! tu me pompes l’âme, tu vas me faire mourir de bonheur.

— Je veux te pomper le foutre dont j’ai soif… je veux boire cette crême de ton sang qui doit me rendre plus amoureuse, plus lascive, plus cochonne que je ne le suis déjà… Donne vite… donne m’en beaucoup pour que j’en conserve longtemps le goût !…

J’avoue que j’étais dans une indicible félicité de tenir ce vit entre mes lèvres et de