Page:Le Sylphe - Poésies des poètes du Dauphiné, tome 1, 1887.djvu/30

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24 LE SYLPHE Mais que tu sois le nain qui chante, Fée ou Sylphe au bord des sillons, Wili que le nuage enfante Et dont le corps léger s'argente De l'éclat des premiers rayons, Nous avons même destinée : Poète, je vais sans savoir Si ma rieur, une fois fanée, Avant la fin de la journée, Je ne mourrai pas vers le soir! THALEB.