Page:Le Sylphe - Poésies des poètes du Dauphiné, tome 1, 1887.djvu/90

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LE SYLPHE Dans le feu de l'étoile, — ineffable et doux leurre, — Le regard alangui de l'absente qui pleure Et gémit depuis les adieux. Mais vous, mon cher ami, qui souffrez de l'absence Et cherchez, comme moi, bercé par l'espérance, Partout un souvenir aimé, Vous viendrez avec moi, dans ces lieux de délices D'où, pour elles, les voix de nos jeunes calices Monteront au ciel enflammé ! Jehan ÉCREVISSE.