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LA CHASSE DANS LA PAMPA DE L’ARGENTINE
par M. GEOFFROY DAIREAUX
I. — 
Les autruches de la Pampa ou nandous. — Leurs plumes servent à confectionner les plumeaux. — Les lamas et les guanacos. — Les pumas ou lions de la Pampa. — Une chasse au tigre. 
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II. — 
La chasse aux oiseaux. — Éternels nomades et demi-domestiques. — Le chimango poltron et le carancho hardi. — Le condor, roi des vautours. — La cigogne mélancolique. — La mouette goulue. — Le cygne blanc à col noir. — Le flamant et le grèbe. — Les œufs et leurs ennemis. — Reptiles : l’iguane amateur de miel. 
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UN MOIS EN MANDCHOURIE AVEC LES HOUNGOUSES
par M. FRANCIS MURY
I. — 
Ce que c’est que les Houngouses. — Leur représentant à Moukden. — Sa cordiale réception. — Exploitation d’une mine d’or impériale. — Exode des chercheurs d’or. — La fondation de la République des mineurs de la Cheltouga. — Son organisation basée sur le communisme. — Son histoire. — Un autre État minier en Mandchourie. 
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II. — 
Arrivée à Ghirin. — L’agent des Houngouses dans cette ville. — Récit des exploits des Houngouses. — Expédition dirigée contre eux en 1885. — C’est la République de la Cheltouga qui est surtout atteinte. — Son anéantissement par les réguliers chinois. — Descente de la Soungari. — Arrêt à Kharbin. — En chemin de fer de Kharbin à Tsitsikar. — Remontée de la Nonni jusqu’à Merghen. 
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III. — 
Le cours de la Nonni au delà de Merghen. — Au Grand Khingan, dans le repaire des Houngouses. — Audience de leur chef qui parle anglais. — Houngouses et Russes pendant la construction du Transmandchourien. — Les Cosaques déciment les Houngouses. — Les Japonais ne tardent pas à profiter avantageusement de la haine des Houngouses contre les Russes. 
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SUR LES CONFINS DE LA TRIPOLITAINE
DE LA MÉDITERRANÉE À GHADAMES
par M. LÉON PERVINQUIÈRE
I. — 
La délimitation de frontière entre la Tunisie et la Tripolitaine ; les commissions. — Départ de Gabès. — Ksar Medenine. — Aspect de la Djeffara. — Le pays des ksour. — Valeur économique du Sud tunisien. — Foum Tatahouine. — Dehibat. 
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II. — 
Départ de Dehibat. — Le Dahar. — La lutte des oueds méditerranéens et des oueds sahariens. — Zar. — Les nitrates brillent par leur absence ; une mine de dentifrice. — Mechiguig. — Pèlerinage à El-Ouatia, où fut assassiné le marquis de Morès. — La Hamadat. — Les grandes dunes d’El-Bab. — La Sebkhat de Mzozem. — En vue de Ghadames. 
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III. — 
Ghadames. — Aspect général de la ville. — Les rues voûtées. — La grande mosquée. — Le souk. — La source. — La place du Mûrier. — Les zaouias. — Les Senoussia. 
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IV. — 
Ghadames. — Vestiges de l’antiquité. — Divers types de maisons. — Emblèmes de Tanit. — La source et les irrigations. — Compteur à eau. — Les puits d’eau chaude. — Les jardins et les cultures. — Variétés de palmiers. 
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V. — 
Ghadames. — L’administration (kaïmakam, medjles). — Les Ghadamsiens (Attara et Atria). — Commerce de Ghadames. — Les Touareg Ifoghas. 
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VI. — 
Départ de Ghadames. — Tounine et Sidi Maabed. — Bir Pistor. — Klechem el-Haouya. — Tiaret. — Djenneien — El-Haguef. — Le Nefzaoua : Douz, Djemna, Kebili. — Les nouveaux puits artésiens. — L’autrucherie tunisienne. — Conclusion. 
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MISSION MARCHAND
DE LA MÉDITERRANÉE À GHADAMES
par le Dr J. EMILY
I. — 
Dix-huit mois après avoir quitté la France. — Du bassin du Congo dans celui du Nil à l’extrême limite de nos possessions. — Chez les Niams-Niams au cœur même de l’Afrique. — Reprise de la marche vers Fachoda. — Entrée dans le Bahr el-Ghazal. — De Tamboura au Poste-Arsenal. — Le Faidherbe. — En route vers le poste des Rapides. 
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II. — 
Le poste des Rapides. — Une chasse intéressante. — Arrivée par convoi fluvial du chef de mission. — Les hippopotames à l’assaut de nos embarcations. — Départ pour le poste de Fort-Desaix. — Je tue mon premier éléphant. — Ce que contient un estomac d’éléphant. — Une éclipse partielle de soleil. — Rappelé auprès du capitaine Germain. — Perdu dans la brousse avec mon guide. — Heures d’angoisse. — Sauvés tous deux. 
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III. — 
Second séjour aux Rapides. — Ce que contient un estomac de caïman. — Vers Fort-Desaix par le Soueh. — Un fleuve sans eau. — Ce qu’un noir peut manger de viande. — Le paradis des chasseurs. — Un lever de soleil que je suis seul à admirer. — Arrivée à Fort-Desaix. — Bruits alarmants. — Les Djinghés. — Prise de contact difficile. — Un poisson parleur. — Combat d’un lion et d’un taureau. 
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IV. — 
Le lieutenant Largeau chez les Djinghés. — La mort de Gouly. — Baratier et Landeroin dans les marécages du Soueh. — Nouvelles randonnées autour de Fort-Desaix. — Fruits de la brousse. — Construction d’un fortin. — Approche de la saison des pluies. — Tous malades. — Une lionne qui abandonne ses petits. 
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V. — 
Rentrées à Fort-Desaix. — Le Soueh baisse toujours. — Préparatifs de départ. — Vers la Mechrâ par la route de terre. — Le mécanicien Souyri rentre en France. — Massacrés sans le savoir. — Enfin, le fleuve monte ! — Départ pour le Nil en deux échelons. — Encore de belles chasses. — Visions djinghées. — Provision de viande d’éléphant fumée. 
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VI. — 
Le Marais. — Barrages d’herbes. — L’houmsouf. — Nuées de moustiques. — Navigation impossible. — Une opération délicate. — L’oiseau du Marais. — Un hippopotame peu commode. — L’île de la Rencontre. — L’île des Marabouts. — Plus d’eau, de la vase et des herbes. — À coups de pioche pour avancer. — Dans un chapelet de mares. — Enfin, l’eau libre. — Un tirailleur noyé par un hippopotame. — Le Kite. — La flottille se partage en deux. — Campement dans l’île de Ghyrdiga. 
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VII. — 
Le journal de Gessi Pacha. — Arrivée du convoi venant de la Mechrâ. — Nouvel ordre de marche. — Les papyrus. — Encore les hippopotames. — Rencontre de Nouërs. — Le lac Nô. — Le Nil. — Villages sur les rives. — Premier contact avec les Chilouks. — L’embouchure du Sobat. — Achat de vivres. — Le Mek Abd el-Fadil. — L’arrivée à Fachoda. — Un amas de ruines. 
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