Page:Le dragon blesse Croisset Francis 1936.djvu/122

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heureusement, il est bien difficile de croire à ces précautions que certaines informations démentent. Des gentilshommes de l’ancienne cour m’affirment que d’admirables toiles ont été exportées, que des bijoux, des jades ont été vendus et se vendent encore, que des vaisselles précieuses ont été cédées à des généraux comme « primes d’encouragement. » Qu’y a-t-il d’exact et à quoi bon s’obstiner à savoir ? Déjà la vérité est malaisée à découvrir en Europe, alors quand il s’agit d’Extrême-Orient !…