Page:Le dragon blesse Croisset Francis 1936.djvu/41

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— Il y a aussi, dit l’un des officiers, le poussin vivant : il n’a pas encore de plumes, on vous le sert dans l’œuf. Il paraît que c’est excellent.

Je me lève, pris d’un vague mal de mer, et demande à voir les sampangs.

En sortant, je dis à Durec :

— Est-ce que les Cantonais mangent tous les jours des choses pareilles ?

— Non, répond-il, le singe coûte trop cher.