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Page:Le oui et le non des femmes.djvu/135

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XII


Quelques instants après, la comtesse, bouleversée et tout en larmes, attendait anxieusement des nouvelles de Lucien. Le domestique qu’elle avait envoyé revint promptement et lui apprit que le jeune Pichel avait une fièvre violente qui augmentait d’instant en instant.

— Retournez au pavillon, s’écria Caroline ; je veux voir madame Pichel tout de suite.