Aller au contenu

Page:Le oui et le non des femmes.djvu/157

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


XV


Les deux amants partirent en effet le lendemain, et arrivèrent à Gênes dans tout le bonheur de l’amour et de l’exaltation ; ils s’aimaient, ils étaient libres, et ils n’étaient pas l’un à l’autre. Lucien transporté passait sa vie aux pieds de Caroline ; il lui faisait des vers, il en faisait à la lune, aux étoiles, à l’Italie. Il disait à la jeune comtesse que le supplice auquel ils s’étaient vo-