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Page:Le oui et le non des femmes.djvu/192

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XVIII


Le lendemain, Caroline fit prier Lucien de passer chez elle avant que de sortir.

Le jeune homme la trouva assise, un livre sur les genoux ; elle était pâle, et ses yeux, rouges encore, trahissaient des larmes récentes.

— Qu’as-tu, ma Caroline ? s’écria Lucien, inquiet et troublé. Au nom du ciel, qu’arrive-t-il ?

— Je vais te le dire, Lucien, répondit la jeune