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IV
LUCIEN DE MAREUIL À MARTHE DES RIEUX
Me voici encore lancé sur les grands chemins. Je ne puis me fixer nulle part ni me reposer deux nuits de suite au même foyer ! Les arbres sont verts, l’aubépine fleurit ; adieu ! je ne dois plus vous revoir. Peut-être la fatigue, la variété, la succession des contrées, des œuvres humaines, peut-être le salut des passants à des hôtes toujours nouveaux, à des soleils toujours chan-