Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/102

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nous être bien gamahuchés, je lui disais :

— N’est-ce pas que c’était délicieux et que je te l’ai enfoncé jusqu’aux couilles !

— Je crois que oui, assurément elle en avait plein le con, répondit près de nous une voix étrangère.

On peut facilement s’imaginer que nous nous levâmes aussitôt foudroyés de surprise.

— Oh ! ne vous gênez pas, je n’ai nullement l’intention de vous déranger, ajouta la même voix.

C’était un homme très comme il faut, avec une voix calme et douce, de tournure aimable et charmante, qui se tenait près de nous en souriant, son pantalon déboutonné et sa pine bien raide à la main. Notre surprise était si grande que nous ne nous rendions pas compte de l’état dans lequel nous nous trouvions nous-mêmes. Marie était étendue les jambes bien écartées, son ventre découvert et le con tout ouvert ; quant à moi, j’avais mon pantalon sur les talons, et ma grosse pine pendait, il est vrai, mais elle était à peine diminuée de grosseur, l’étranger ajouta :

— Je ne veux pas vous déranger, mais