Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/76

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sans aucun effort de ma part, et au lieu d’éprouver de la souffrance, elle se mit à crier de plaisir, tellement était grande la volupté qu’elle ressentit en déchargeant.

Elle resta quelques minutes sans pouvoir parler, tout en continuant à serrer ma pine avec les muscles de son sphincter. Mais j’étais déterminé à ne pas décharger de suite et à attendre une deuxième course afin de pouvoir initier complètement ma chère Elise à toute la luxure de cette nouvelle manière de foutre. Je fus bien récompensé d’avoir agi ainsi. Les premiers mots que ma chère sœur prononça furent ceux d’une joie délirante, pour les délices extraordinaires que je lui avais fait éprouver ; jamais, jamais elle n’avait autant joui. Elle tourna vers moi sa charmante figure, et je vis ses yeux remplis de pleurs de volupté et de sensibilité.

Je recommençai mes titillations sur son clitoris encore excité et qui s’était considérablement développé, aussi elle était aussi avide que moi de tirer un deuxième coup. Je pus me retenir encore assez pour pouvoir faire quelques mouvements de va-