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Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/77

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et-vient de manière à procurer à Elise un plaisir, tellement exquis qu’une autre fois elle ne demanderait pas mieux que de m’accorder son joli trou du cul aussi souvent que j’en manifesterais le désir, je l’amenai au plus, haut degré possible d’excitement, et au moment où elle déchargea, dans une agonie de volupté, je fis couler un véritable ruisseau de foutre dans ses entrailles et nous tombâmes tous deux en avant, anéantis par l’intensité de notre plaisir, mais cependant je n’avais pas déculé.

Quand nous revînmes à nous, je me retirai de dedans son derrière. En retirant ma pine je constatai qu’elle était couverte de quelques gouttes de sang. J’essuyai mon vit avec mon mouchoir et j’essuyai aussi ma chère Elise en le passant dans la raie de ses fesses, dans la crainte que son linge ne se trouve marqué et taché. Je l’aidai alors à se lever ; elle m’entoura le cou de ses bras et, m’embrassant bien tendrement, elle me remercia pour cette nouvelle leçon d’amour qui l’avait anéantie de bonheur.

Ainsi se termina cette première leçon donnée à Elise dans cette route du plaisir,