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et je dois dire incidemment qu’elle était spécialement bien constituée pour donner et recevoir la jouissance de cette manière. Elle devint plus tard une femme superbe, ayant un des plus beaux et plus larges derrières que j’aie jamais rencontrés ; et elle aima toujours beaucoup à se faire enculer.

Quand elle fut mariée, elle me raconta que son mari n’était qu’un mufle qui ne connaissait qu’une seule manière de faire jouir une femme. Aussi elle le trompa souvent en faisant glisser sa pine dans le trou de son cul sans qu’il s’aperçut du genre de plaisir qu’il lui donnait.

Trois mois se passèrent avec la rapidité d’un rêve, pendant que nous étions plongés dans ces scènes délicieuses de volupté et de lubricité, sans que personne de la maison ne s’aperçut de ces intimités et, chose extraordinaire, sans que miss Aline eût le moindre doute sur ce qui se passait entre ma sœur et moi, grâce au talent naturel à la jeunesse de savoir dissimuler. Elle et mes sœurs s’imaginaient, chacune de leur côté, qu’elles m’en donnaient autant que je pouvais en vouloir et par con-