Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/234

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le comte continua son récit sur le résultat de son intrigue avec sa mère.

Sa sœur, qui était aussi sa fille, naquit pendant la première année de son exil. À part les lettres de sa mère lui disant que sa sœur grandissait en beauté et ressemblait beaucoup à son père, le comte n’en avait pas de nouvelles.

Elle avait juste onze ans lorsque sa mère mourut, et pendant deux années elle dut diriger la maison de son père, qui mourut à son tour.

Le second frère prit possession de la maison, car la condamnation du comte à la prison l’avait privé de ses droits civils, aussi la propriété fut donnée à son frère.

À son retour, après l’amnistie, le comte fut obligé de plaider contre son frère pour rentrer en possession de la propriété.

Sa fille et sœur, qui avait été malheureuse avec la femme de son second frère, les laissa avec plaisir pour diriger la maison du comte.

Elle avait alors dix-sept ans, avait la poitrine et les hanches très développées, d’admirables yeux bruns et lascifs comme ceux de son père, qu’elle croyait simplement être son frère.

Le souvenir des folles jouissances qu’il avait éprouvées avec leur propre mère à tous deux le rendit fou de luxure et de désirs de posséder le fruit incestueux de son intrigue avec sa mère. Il avait l’habitude le soir après le dîner de la prendre sur ses genoux, pendant qu’il lui racontait ses