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Page:Lebey - Les Blasons du plaisir, 1900.djvu/14

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Dans la méduse de la joie
Ce dont, jusqu’alors, le jeu plein,
Qui sur tout son frisson nous ploie,
N’avait jamais encor si bien,
Dispensé le suprême bien,

Au moins pour moi, quand je revois
L’heure ailée que rien n’évince
Où je retrouve sous mes doigts
Tes longs bas sur tes jambes minces.