Page:Leblanc — Contes du soleil et de la pluie, parus dans L’Auto, 1902-1907.djvu/287

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— Ta mère ? lui dis-je, haletant.

— Maman ?

— Oui, elle est ici ?

— Mais non, maman est partie à cinq heures… Vous ne l’avez pas vue ?

— Pourquoi l’aurais-je vue ?

— Elle a pris le train pour aller au-devant de vous… pour vous faire une surprise… Vous deviez passer à six heures…

— À six heures… où ?… réponds… où est-elle partie ?

— Mais… à Saint-Cloud…

Maurice LEBLANC.