Page:Leblanc - Contes Heroïques, parus dans Le Journal, 1915-1916.djvu/17

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Tant pis.

C’était un lieutenant tout jeune, la figure imberbe, et qui ne semblait pas souffrir. Duvauchel l’examina et conclut :

— Il est mort.

Ils se signèrent tous deux. Après quoi, Renard insista :

— Détalons !

— Minute, fit l’autre. Et sa galette ? Alors quoi, tu laisserais sa galette aux Boches ? Non, mais ce qu’ils la barboteraient, les sauvages ! Un coup de main, Renard, que je le fouille.

Ils déboutonnèrent la tunique. La poche intérieure contenait un porte-