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Page:Leconte de Lisle - Premières Poésies et Lettres intimes, 1902.djvu/222

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et lettres intimes

ne manquait plus que cela, n’est-ce pas, pour compléter sa nullité ? Si vous trouvez que je m’adresse de trop injustes injures, je vous donne l’autorisation de me consoler, mon Ami.

Écrivez-moi encore, puisque le destin retarde ainsi votre arrivée.

Tout à vous d’amitié dévouée.

C. Leconte de l’Isle.