Page:Lefèvre-Deumier - Le Clocher de Saint-Marc, 1825.djvu/226

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VI.

Quand je te dis adieu, tu ne me comprends pas :
J’entends ta voix légère accompagner mes pas,
Et tu dis, en riant, adieu, comme on prononce
Ces vœux inattentifs, qu’on laisse sans réponse.
Ce mot si doux d’adieu, qui semble protéger,
Et mettre ce qu’on aime à l’abri du danger,